Aéline Lluvi
Qui suis-je ?
Pour faire court,
Je suis Aéline “Lluvi” Pourlier-Cucherat, une photographe passionnée par toute la gamme d’émotions que peuvent procurer des photos.
J’ai grandi dans le Jura près de la frontière Suisse. Dès mon plus jeune âge j’ai eu la chance de pouvoir beaucoup voyager, en France et à l’étranger. Ces voyages m’ont beaucoup appris sur le monde, les différentes cultures et la vision de l’art à travers le monde.
J’aime être spectatrice, essayer d’être invisible et de pouvoir capturer des moments sans être remarquée. Mon travail est beaucoup axé sur la mémoire, les souvenirs. Plus que des images, je veux que mes photos soient des capsules temporelles, qui vous remplissent d’émotions, que vous ayez ou non vécu cet instant.
C’est cette vision qui me pousse à expérimenter encore et encore, pour toujours avoir les ressources permettant de capturer un instant ou une atmosphère sans en perdre sa saveur.
Pour en savoir plus
Mon Parcours
Fille de parents amoureux de voyages, je suis née à la Réunion et j’ai par la suite grandi dans le Jura, près de la frontière franco-suisse. J’y ai rencontré des personnes de tous horizons et cultures.
Ma mère étant autrice, j’ai baigné dans le milieu artistique depuis mon plus jeune âge et j’ai eu la chance d’être encouragée à explorer tous les arts que je souhaitais. J’ai alors commencé une longue quête personnelle, à la recherche de l’art qui me correspondrait, qui me permettrait de pleinement m’exprimer.
C’est ainsi que un à un, j’ai étudié et pratiqué la poésie, le piano, le dessin, la modélisation et animation 3D, l’écriture de fiction, la réalisation et le montage vidéo. Finalement, je me suis un jour penchée sur la photographie, et j’y ai trouvé tout ce dont j’avais besoin.
Au départ intimidée par l’idée de tenter de travailler en tant qu’artiste, j’ai décidé de me diriger vers une formation scientifique, en physique. J’ai donc entamé un bachelor à la faculté des sciences de l’université de Genève. Après une année, j’ai finalement décidé de me réorienter vers une formation d’assistante sociale, que j’ai suivie pendant deux années. Finalement, avec à mes côtés la rigueur scientifique et la sensibilité du travail social, l’idée de devenir photographe ne me semblait plus aussi intimidante.
C’est ainsi que j’ai passé le pas, que je me suis lancée en tant que photographe professionnelle et que j’en suis là aujourd’hui.